Et puis, il est si logique de faire de l’énergie avec le vent et le soleil, quand ils sont en abondance, comme ici !
ADMINISTRATEUR DE LA SODEL & ET DE LA CAVE DE MONTBRUN
BRUNO PAROLIN
« Pour mon retour aux sources, pas question d’abandonner le projet vital de notre territoire. »
Quel est votre parcours ?
Je suis né ici, dans la vigne ! Mon père était vigneron, ouvrier agricole d’origine italienne. A force de travail, il a pu acheter un petit domaine sur Escale. La vigne, pour moi, c’est donc le retour aux sources, à mes racines !
Auparavant, j’ai exercé des fonctions RH dans l’industrie et la distribution, mais j’ai toujours été un amoureux inconditionnel de la vigne. Dès mon départ de la maison, je m’étais promis de revenir vivre ici, dans ce patrimoine familial. Et puis, les circonstances de la vie ont accéléré ce retour. L’année 2010 marque un grand tournant pour moi : avec le décès de mon père, j’ai repris l’exploitation.
Quand je suis arrivé, le secteur sortait à peine d’une période de restructuration, suite à une vague d’arrachage massif. Mon père avait refusé cet arrachage, je me suis naturellement inscrit dans cette continuité et mon premier contact dans le métier fut Robert Broto, de la cave de Montbrun.
Que représente la SODEL pour vous ?
En rejoignant la Sodel, je n’ai fait que suivre mes convictions écologiques, ancrées depuis longtemps. Et puis, il est si logique de faire de l’énergie avec le vent et le soleil, quand ils sont en abondance, comme ici ! J’aime ce projet qui a toute son essence pour aider les gens dans leur quotidien. Et puis, nous pouvons être partie prenante dans les structures d’exploitation des parcs éoliens si nous le décidons.
Qu’est-ce qui vous porte dans ce projet ?
L’enjeu bien sûr ! Un enjeu de taille pour la cave coopérative. Faire aboutir notre démarche aura un effet très positif sur les vignerons. Un effet économique et social car ce projet procède d’une démarche sociétale, tout simplement !
Vous savez, ici, quand on aime la terre, on ne peut pas rester un observateur passif. Et le vent n’a pas de limite, il est donc inépuisable ! Les acteurs économiques traditionnels du territoire deviennent parties prenantes, c’est essentiel, ils sont impliqués directement.
Le projet est original et novateur.
Quel regard vos adhérents portent-ils aujourd’hui sur le projet ?
Aujourd’hui, ils espèrent qu’il aboutisse ! L’attente, à Montbrun notamment, devient longue et compliquée, mais quoiqu’il en soit, les gens ont totalement confiance. Ils nous soutiennent à 100 %, et croient en la force de la collectivité.
Vous savez, nous sommes très soudés ici, et ça, les adhérents le savent pertinemment. Ils le voient et le vivent.
Notre démarche soude non seulement le territoire, mais aussi les administrateurs des caves, leurs adhérents, et leurs familles. Pourquoi ? Parce qu’il crée du lien, bien au-delà d’être un projet de production électrique, il symbolise un outil de cohésion sociale.
Une cohésion issue d’une entente. Le projet de la Sodel est monté et porté par et avec les gens du territoire. Et non, sans eux ou dans le dos. C’est toute la différence. C’est notre force.
Et puis, il est si logique de faire de l’énergie avec le vent et le soleil, quand ils sont en abondance, comme ici !
ADMINISTRATEUR DE LA SODEL & ET DE LA CAVE DE MONTBRUN
BRUNO PAROLIN
« Pour mon retour aux sources, pas question d’abandonner le projet vital de notre territoire. »
Quel est votre parcours ?
Je suis né ici, dans la vigne ! Mon père était vigneron, ouvrier agricole d’origine italienne. A force de travail, il a pu acheter un petit domaine sur Escale. La vigne, pour moi, c’est donc le retour aux sources, à mes racines !
Auparavant, j’ai exercé des fonctions RH dans l’industrie et la distribution, mais j’ai toujours été un amoureux inconditionnel de la vigne. Dès mon départ de la maison, je m’étais promis de revenir vivre ici, dans ce patrimoine familial. Et puis, les circonstances de la vie ont accéléré ce retour. L’année 2010 marque un grand tournant pour moi : avec le décès de mon père, j’ai repris l’exploitation.
Quand je suis arrivé, le secteur sortait à peine d’une période de restructuration, suite à une vague d’arrachage massif. Mon père avait refusé cet arrachage, je me suis naturellement inscrit dans cette continuité et mon premier contact dans le métier fut Robert Broto, de la cave de Montbrun.
Que représente la SODEL pour vous ?
En rejoignant la Sodel, je n’ai fait que suivre mes convictions écologiques, ancrées depuis longtemps. Et puis, il est si logique de faire de l’énergie avec le vent et le soleil, quand ils sont en abondance, comme ici ! J’aime ce projet qui a toute son essence pour aider les gens dans leur quotidien. Et puis, nous pouvons être partie prenante dans les structures d’exploitation des parcs éoliens si nous le décidons.
Qu’est-ce qui vous porte dans ce projet ?
L’enjeu bien sûr ! Un enjeu de taille pour la cave coopérative. Faire aboutir notre démarche aura un effet très positif sur les vignerons. Un effet économique et social car ce projet procède d’une démarche sociétale, tout simplement !
Vous savez, ici, quand on aime la terre, on ne peut pas rester un observateur passif. Et le vent n’a pas de limite, il est donc inépuisable ! Les acteurs économiques traditionnels du territoire deviennent parties prenantes, c’est essentiel, ils sont impliqués directement.
Le projet est original et novateur.
Quel regard vos adhérents portent-ils aujourd’hui sur le projet ?
Aujourd’hui, ils espèrent qu’il aboutisse ! L’attente, à Montbrun notamment, devient longue et compliquée, mais quoiqu’il en soit, les gens ont totalement confiance. Ils nous soutiennent à 100 %, et croient en la force de la collectivité.
Vous savez, nous sommes très soudés ici, et ça, les adhérents le savent pertinemment. Ils le voient et le vivent.
Notre démarche soude non seulement le territoire, mais aussi les administrateurs des caves, leurs adhérents, et leurs familles. Pourquoi ? Parce qu’il crée du lien, bien au-delà d’être un projet de production électrique, il symbolise un outil de cohésion sociale.
Une cohésion issue d’une entente. Le projet de la Sodel est monté et porté par et avec les gens du territoire. Et non, sans eux ou dans le dos. C’est toute la différence. C’est notre force.